Brahms | Schumann | Rachmaninov
Ultime concerto de Rachmaninov, le Quatrième fut totalement incompris lors de sa création en 1927, amenant le compositeur à tout bonnement abandonner le genre. Il est aujourd’hui souvent considéré comme une de ses partitions les plus personnelles et originales. C’est la britannique Kathryn Stott qui l’interprétera.
Ce concert est aussi l’occasion d’entendre Le Chant du Destin de Brahms, un chef-d’œuvre rarement donné, avec l’Orchestre Dijon Bourgogne et le Chœur de l’Opéra de Dijon.
ORCHESTRE DIJON BOURGOGNE
CHŒUR DE L’OPÉRA DE DIJON et JEUNE CHŒUR SYMPHONIQUE
DIRECTION MUSICALE Gergely Madaras
PIANO Kathryn Stott
CHEF DE CHŒUR Anass Ismat
Beng Bakalli, Irma Barbutsa, Isabelle Chabrier, Christophe Dacharry, Sophie Desbruères, Christine Grandjean, Manon Grandjean, Pierre Hamel, Thierry Juffard, Sophie Kalch, Camille Labroue, Philippe Lucotte, Christelle Marion, Anne Mercier, Christian Parmentier, Marie-Laure Sahran, Marie Salvat, Ariadna Teyssier violons
Aline Corbière, Sandra Delavault, Emmanuel Kirklar, Valérie Pelissier, Jean-Claude Petot, Sophie Mangold altos
Sylvie Brochard, Marie Gilly, Guillaume Paoletti, Sébastien Paul, Serge Vacon violoncelles
Christian Bigarne, Pierre Boufil, Paul Frizot, Pierre Sylvan contrebasses
Martine Charlot, Claire Louwagie, Nathalie Theiller flûtes
Dominique Dournaud, Prisca Geninatti hautbois
Bernard Quilot cor anglais
Éric Porche, Gilles Rougemon clarinettes
Christian Bouhey, Florence Hamel bassons
Didier Cassecuelle, Bernard Morard, Armelle Tanguy, Renaud Taupinard cors
Philippe Boisseranc, Bertrand Gillet trompettes
Dominique Laversin, Paul Manfrin, Bernard Metz trombones
Didier Portrat tuba
Didier Ferrière timbales
Violette Amiot, Rachel Davergne, Philippe Massacrier, Sophie Thévenard percussions
JOHANNES BRAHMS (1833-1897)
Le Chant du Destin, op. 54
SERGUEÏ VASSILIEVITCH RACHMANINOV (1873-1943)
Concerto pour piano n 4 en sol mineur op. 40
JOHANNES BRAHMS (1833-1897)
Warum ist das Licht gegeben dem Mühseligen? (op. 74, n 1) pour chœur a capella
ROBERT SCHUMANN (1810-1856)
Symphonie n 2 en do majeur op. 61